Série LAdultère « Élodie » (Partie 29) : Je Suis Bien Une Salope Maintenant Je Le Sais. Partie 2/3
Je mappelle Élodie D, cette histoire est la suite de lépisode 7 dans Série « Les voisins » du même auteur où javais raconté ma prime jeunesse.
Suite à mon avortement, jentrai en dépression, non seulement on mobligea à ne pas garder mon mais je venais de perdre mon grand amour de jeunesse. En maladie, javais beaucoup perdu de temps et fus dans lobligation de redoubler. À partir de ce moment, mon comportement se modifia, je séchais les cours, je ne voulais plus rien faire à lécole. Désirant me faire remarquer et appréciant le regard des hommes sur moi, je me maquillais beaucoup plus pour me vieillir et je sortais en aguichant les nombreux garçons que je rencontrais. Il faut dire que physiquement tous les lycéens et les gars du village, couraient après moi mais pas que. Même si je ne couchais pas avec tous mes prétendants, javais une sérieuse réputation.
Mon père navait jamais accepté mon comportement, si sa petite Élodie était sa princesse depuis ma naissance, après cet épisode qui avait terni limage de la famille et de son entreprise, il men voulait beaucoup, ne me cédait plus rien. Il ne comprenait pas que je veuille arrêter mes études. Il sétait alors beaucoup plus rapproché de ma sur et de son mari. Malgré cela, ma mère Sylvie désirait maider, elle savait que sa fille se sentait mal et vivait des moments difficiles. Étant très estimée dans cette ville, elle mavait trouvé un emploi dapprentie au supermarché de notre commune. Si le travail me convenait, je sortais toujours autant les soirs et les week-end.
Si Mme G la femme du gérant ne mappréciait pas beaucoup, javais vite compris que son mari navait dyeux que pour moi. Pendant un an, il ne me quittait pas, hormis quelques tout petits attouchements discrets afin de maider soi-disant à monter ou à descendre dun escabeau, il navait pas tenté de me faire des avances. Cependant, jaimais sa présence ses regards en coins lorsquil matait mon décolleté ou sa ma robe dans lescalier.
Nous étions dans la réserve, ayant un certain embonpoint, il me fit monter sur une caisse afin dattr un carton. Il me tenait par les hanches, javais les fesses sous son nez, le contact de ses mains fermes sur mon corps et la situation, mexcitèrent aussitôt. Je me laissai tomber, il me rattrapa et je me retrouvai dans ses bras, mon visage à quelques centimètres du sien :
Merci Mr G. Lui dis-je en lui déposant une bise sur ses lèvres.
Son réflexe fut de regarder tout autour de lui pour sassurer que sa femme ou un des employés ne nous voient pas, il mattrapa et membrassa. Nos langues tournoyèrent un moment puis il mattira dans son bureau. Il tira les rideaux et ferma à clé avant de me reprendre dans ses bras. Je navais pas eu à faire une longue fellation, il bandait déjà bien fort. Je sortis un préservatif de ma poche et lui tendit puis je baissai ma culotte et je métais allongée à plat ventre sur le bureau en lui présentant mes fesses. Le pauvre cinquantenaire devait se demander ce quil lui arrivait, cela ne lavait pas empêché de bien me baiser, javais joui en même temps quil remplissait sa capote. Depuis toutes les semaines, je lui faisais ce petit cadeau.
Ce qui me permit deux ans plus tard, à la fin de mon apprentissage, dêtre très appréciée par le gérant, qui décida son épouse de membaucher en CDI. Au départ, tout en continuant à lui offrir ma bouche ou mon sexe, je mettais en rayon et étais employée à des diverses tâches. Afin damadouer sa femme, je nhésitais pas à répéter à ma patronne tout ce que je voyais dans le magasin. Quelques mois plus tard, à la suite de labsence dune employée, après un essai fructueux je devins hôtesse de caisse. Depuis lors, nous avions été contraints de stopper notre relation sexuelle dautant plus que Mme G avait trouvé une capote usagée dans les WC privés.
Résidant dans la commune dans le grand lotissement sur le plateau, à la sortie de la ville, je navais jamais fait attention à ce beau garçon. Ce jour-là, lorsque je lai vu, mon cur sétait mis à battre la chamaille et lorsquil me parla, je nosais même pas lui répondre, javais littéralement craqué pour ce garçon qui me dit avant de partir : « Vous êtes très séduisante Mlle. Que faites-vous ce soir ? Ça vous dirait un petit cinéma ? » Je nétais pourtant pas farouche mais je navais pu mempêcher de répondre avec une voix chevrotante : «
Ouais ! À quelle heure ? » Une cliente impatience avait déposé ses courses, il me tendit un post-it ou figurait son N° de téléphone, en disant : Moi cest Anthony, appelle-moi dès que tu es prête.
Javais pensé à lui toute laprès-midi, je lavais appelé à la pause et il accepta de venir me chercher à la fin de mon service. Il lavait emmené dans son studio chez sa mère où nous avions mangé une pizza quil sétait faite livrer mais nous nétions pas allés au cinéma. Nous nous étions retrouvés sur le canapé de son salon où tout en me déshabillant, il fit la découverte de mon corps. Avec ses mains douces et sa langue chaude, il me procura plusieurs orgasmes de suite, il était dune tendresse que je navais pas encore connue. Avec lui tout était simple, contrairement aux autres types avec lesquels javais baisés, il ne me demanda pas de lui faire une fellation, il mavait seulement prise en missionnaire mais cétait si bon que je jouis une autre fois, juste avant quil prenne plaisir à son tour. Nous avions fini la nuit dans sa chambre où nous avions refait lamour passionnément.
Le temps passait très vite, nous aimions nous retrouver ensemble et notre relation devint sérieuse. Néanmoins Anthony étant encore à la FAC et nayant pas encore ses examens, il navait pas beaucoup dargent.
Anthony était lui aussi amoureux, il sefforçait à céder à tous mes caprices, afin de me satisfaire sexuellement et en sorties en tout genre. Au niveau financier, il travaillait quelques heures par semaine comme barman à Nancy, cependant, ça le fatiguait et cétait au détriment de ses études. Ne me plaisant plus du tout chez mes parents, jétais impatiente de vivre en couple avec lui. Cependant après deux ans, avec ses études et son petit job, nous ne faisions plus beaucoup lamour. Je commençai à me lasser et tout en restant avec mon petit ami, je voyais un des garçons de la bande que je fréquentais par le passé, pendant quAnthony préparait ses examens.
Nicolas G me connaissait et savait ce que jétais capable de faire en matière de sexe, avec lui cétait bestial, il me baisait comme un sauvage et cela me plaisait car je nen avais plus lhabitude, je venais chez lui au moins deux fois par semaine, je ne laimais pas du tout mais jen avais besoin. Ce qui ne mempêchait pas dêtre aimante avec mon Anthony lorsque nous nous retrouvions, il était si gentil avec moi que je regrettais de le tromper ainsi. À chaque fois, en sortant de chez mon amant, je me disais que cétait la dernière fois mais lorsque mes pulsions revenaient au galop, je filais le retrouver afin quil me prenne comme une salope que jétais devenue.
Intelligent, autonome, et doté dune bonne élocution, Anthony désireux de me faire plaisir car je le harcelais sans cesse afin que nous nous installions ensemble dans notre propre logement, ne trouvant pas demploi dans sa branche malgré tous ses diplômes, en août 2008 il avait accepté à contre cur, un petit travail en attendant mieux.
Le problème était quil avait un grand secteur à soccuper et devait faire beaucoup de route pour démarcher les clients. En revanche, notre situation financière sétait tout de suite améliorée pour ma plus grande joie. Il nen restait pas moins quétant dans lobligation de prendre une chambre dhôtel quelques jours par semaine, cela ne me plaisait pas, sans doute par cupidité je nen fis pas la remarque à Anthony. Néanmoins, restée seule pendant plusieurs jours mes pulsions sexuelles refaisaient surface. Un matin à 10 heures, je mapprêtais à partir en course avant daller au travail, jétais dans ma cour lorsque japerçus David, mon beau-frère avec lequel javais perdu ma virginité :
Qu'est-ce que tu fais là David ? Lui demandais-je.
Jaimerais que lon parle. Mavait-t-il répondu d'un ton bizarre.
Cest-à-dire que je suis assez pressée.
Je métais avancée, bien décidée à monter dans ma voiture, je navais pas beaucoup de temps je lui dis de revenir plus tard mais il mavait plaquée contre ma portière : « Viens rentrons chez toi quelques instants. » Javais 24 ans, jétais heureuse et mesurais pas les conséquences, mais sachant que cétait le mari de Magali, je lavais invité à boire un café sans arrière-pensée, cétait uniquement pour discuter. Une fois à la maison, il appuyait de tout son poids sur mon corps pour que je ne puisse plus bouger :
Ta sur ne vaut rien au lit, je sais que tas baisé avec Nico, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, salope !
Tu te prends pour qui ? Lâche-moi David ! je ne lui ai tailler quune petite pipe.
Il ma dit quil tavait baisée comme une chienne.
Ne fais pas le con, pense à Magali et à tes gosses.
Au lieu de répondre, il mavait embrassée et javais répondu à son baiser brutal et bestial ce qui me rendit aussitôt brûlante, je commençais à mouiller, ma langue tournoyait autour de la sienne. Je sentais déjà sa queue en érection contre ma cuisse. Sans hésitation, il avait baissé mon collant et il avait fait glisser mon string le long de mes cuisses, je lavais même aidé un peu, la situation mexcitait énormément, cétait presque un viol. Puis il baissa son pantalon et son slip, attrapa mes cuisses et me souleva avec force, pour me tenir, javais enroulé mes jambes autour de sa taille. Lorsquil avait enfoncé sa verge bien au fond de ma chatte, je ne pensais plus quà prendre du plaisir en me faisant baiser debout.
Il mavait labourée comme une brute, il me remplissait le vagin complètement et me le dilatait un peu plus à chacun de ses coups de boutoir. Javais l'impression de me faire baiser par un taureau en furie et j'adorais ça. Ses va et viens rapides, violents et profonds, son souffle dans mon cou, ses doigts s'enfonçant dans la peau de mes cuisses, me firent jouir :
Il te baise ainsi, ton Jules ? Me glissa-t-il dans mon oreille.
Non ! Vas-y baise moi plus fort.
T'aimes ça salope. Hein ! Davoir ma queue dans la chatte ?
Oui...encore
Soudain il mavait reposée sur le sol et il mavait retournée dos à lui en relevant ma jupe. Son gland gonflé et tout mouillé appuya contre mon anus.
Je vais tenculer, ta sur ne veux pas le faire cette pute. Tu aimes ça toi, hein ?
Oui !!! Sodomise-moi David.
Il mavait perforé mon petit trou avec sa bite bien au fond de mes fesses sans préparation, ce fut un peu douloureux, cependant après quelques petits allers-retours, je my étais vite habituée car jappréciait ça. C'était si intense et si puissant, que je jouis bien avant lui. Il accéléra, il me défonçait le derrière, il ne lui avait pas fallu longtemps avant quil néjacule. Il était sorti rapidement avait retiré sa capote et je sentis son sperme chaud couler entre ma raie. Il sétait empressé de se revêtir et sortit de la maison sans même me dire à plus tard. Je métais laissé aller au plaisir et le recevais certains matins quand mon homme nétait pas là.
Mon passé mavait bien rattrapé, à tour de rôle, les deux ou trois jours où Anthony était en déplacement, Nicolas la nuit ou David le matin, venaient me baiser comme une chienne, jétais dans lincapacité de leur dire non. Tout ceci dura plusieurs mois, javais envie que cela sarrête, javais des remords envers Anthony que jaimais, cependant je ne parvenais pas à lui avouer ma faute. Pourtant dans la même semaine, je perdais mes deux amants. Un mercredi matin, mon mari était parti depuis deux jours, jétais dans mon lit avec David, lorsque nous avions entendu tambouriner à la porte. Prise de panique croyant quAnthony revenait, jenfilai un peignoir pour aller ouvrir et mon amant se rhabillait prévoyant une fuite par la fenêtre.
Cétait Nicolas, je le fis entrer discrètement et rassurai David. Nous avons bu le café, Nico passait mannoncer quil quittait la région et désirait me baiser une dernière fois. Il mavait fait massoir sur ses genoux, il avait glissé une main sur ma poitrine, lautre sur le haut de ma cuisse. Je pensais que David allait nous laisser mais celui-ci nous dit : « Allons-nous installer sur le lit, on y sera plus à l'aise. » Jétais en manque de sexe et cette idée dêtre à trois me plut et mexcita encore plus. Je me levai tout de suite et les invita à me suivre.
Je navais jamais eu de relation avec deux hommes, très vite, nous nous étions retrouvés nus, je ne sais même plus sur qui se posaient mes mains, je ne savais même plus qui m'embrassait où me caressait. C'était très euphorisant d'être avec ces deux hommes. Nos bouches se mélangeaient tour à tour et la chaleur s'intensifiait de plus en plus. Mes mains caressaient un sexe, puis un autre, ils me pelotaient et me léchaient la fente dans une ambiance très bestiale. Jétais chaude, je mouillais, javais envie quils me baisent, je commençais à prendre goulument leur queue dans ma bouche. Après plusieurs minutes, ma chatte était trempée et mon anus était dilaté par les doigts experts qui sy enfonçaient.
Je sortis deux capotes et leur avait recouvert le sexe de latex, pressée de vivre une toute nouvelle expérience, jen étais toute excitée. Jétais venue m'enfoncer doucement sur le sexe de Nicolas. Ses mains agrippaient mes hanches, il rythmait les mouvements pour me faire aller et venir sur sa belle queue. Je me cambrai car les mains de David empoignaient chacune de mes fesses en les écartant. Après avoir salivé de nouveau lentrée de ma rondelle déjà bien humidifié, je sentis son gland pénétrer sans effort dans mon petit trou en exerçant de petits mouvements. Il sétait inséré avec douceur dans mon anus et me sodomisait en me limant le rectum : « Hum ! »
Quelle formidable sensation dêtre empalée sur une queue, la chatte remplie pendant qu'une autre verge pilonne le cul. Je navais jamais connu cette expérience et ne la regrette pas. Je gémissais de plus en plus fort sous les effets de ces deux queues qui me baisaient par alternance les deux trous. Nicolas accéléra la cadence, sa queue entrait profondément dans mon vagin sous ses grands coups de boutoir. Le rythme rapide eut raison de lui, il ne put se retirer et jouit dans sa capote, son plaisir avait déclenché celui de David qui jouit à son tour avant que quelques secondes plus tard, jétais secouée par un orgasme puissant.
Après cette fabuleuse expérience, javais perdu Nicolas, un amant formidable mais jallais plus tard perdre le second. En effet, mon père ayant entendu des rumeurs, prit David à part, ne pouvant admettre que son gendre puisse tromper Magali, sa première fille chérie, le menaça. Ayant choisi de reprendre lentreprise D, mon deuxième amant décida de ne plus venir me voir. Jétais quelque peu affectée par cette situation mais très soulagée, je pouvais enfin retrouver une vie normale et pendant six mois, mise à part les quelques branlettes que je faisais toujours à mon vieux patron, pendant mes pauses, quelques fois par mois, jétais restée fidèle. Jusquau jour où
Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai mercredi dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Élodie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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